Un violon, un accordéon, deux voix.
Le duo Arizonà s’inspire de mélodies et de chansons du Massif Central pour fabriquer une musique poétique et cadencée. Le français et l’occitan s’y croisent pour filer ensemble un répertoire plein d’énergie, un irrésistible appel à la danse.
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Le Duo Vargoz a été créé en 2017 par deux frères, Guillaume et Robin. Chacun explore les musiques et danses de traditions orales depuis une vingtaine d’années. Si le répertoire principal du Duo Vargoz est issu du territoire alpin, ils ont confronté leur regard avec de nombreux musiciens-chercheurs d’autres régions : Auvergne, Irlande, Piémont italien, Appalaches … .
Il y a des maisons d’eau douce qui ne flottent que dans la secousse d’une houle nerveuse. PÉNICHE a pris les courants troubles du post punk instrumental pour dire sans les mots l’urgence, l’amour et la camaraderie. Les tumultes de leur tempête savent laisser une place précieuse à l’émotion des plages post-rock, sorte de préparation lacrymale au bazar salvateur. Bande son d’un trio qui préférera toujours la haute mer aux ports de plaisance, PÉNICHE c’est beau comme une vague frappant la falaise ou un but à la 90ème.
Marie Vidal, auteure-compositrice-interprète, est LUNÉLYS. C’est entre Aurillac et Montréal que LUNÉLYS voit le jour. Elle nous plonge dans un univers aux influences indie-folk et chanson pop française. Âme voyageuse un brin mélancolique, inspirée par la beauté de notre terre. Tourmentée par cette folle sensation qu’est l’amour, où elle trouve son inspiration depuis toujours. C’est aux côtés de son piano et de sa guitare que LUNÉLYS nous invite à nous poser.
Elle a le goût des rencontres. billie, 22 ans, frange noire et regard qui frise, porte en elle un paysage anglais doublé d’une sensibilité française. C’est un drôle de mélange : l’alliage du rock et des mots tendres, du tellurique et de l’envol, de l’inquiétude et de la candeur. C’est un désir d’ailleurs, qui s’est élancé tôt dans l’enfance.
Dès ses 6 ans billie chante et apprend le piano auprès de sa famille musicienne. A la fois bercée par la dream pop des Cocteau Twins, la post-punk des Joy Divison ou le rock expérimental des Velvet Underground, billie forme aussi sa sensibilité au contact des voix uniques des icônes de l’hexagone, France Gall ou Françoise Hardy. Le visionnage de Stop making sens, documentaire des Talking Heads, est décisif pour elle : cette liberté de ton, cette étrangeté et cette exigence, tout ça l’attire et la guide, comme une étoile du berger.
En fait, dès la fin de l’adolescence, billie sait ce qu’elle traque : une musique où se rencontreraient la rivière claire de sa voix, et les guitare saturées de son imaginaire.
Du rock au féminin, des riots dans un studio français.
Pour préparer tout ça, elle étudie deux ans à l’American School of Modern Music, puis elle s’échappe en Angleterre où elle précise sa technique musicale et travaille avec des musiciens locaux, rencontrés suite à une petite annonce laissée sur un forum. Le reste du temps ? Elle apprivoise sa solitude, et observe les gens vivre dans les cafés. Elle peaufine aussi son anglais, tout en écrivant des chansons en français.
Parmi elles, les 5 morceaux de son premier EP J’avance. Des chansons de désir (Amy), de mélancolie (Ami imaginaire, Parle-moi parfois) et d’urgence (J’avance, La terre explose), morceaux à la fois intimes et générationnels, donc, dont elle précise la direction instrumentale à Londres avec son petit ami Zacharie Berdugo (Ayrakaz), lui aussi musicien.
A son retour en France, billie finit ensuite la production de l’ensemble avec ses amis d’enfance Clément et Adrien, du groupe Kids Return, avec qui elle partage le goût des sonorités organiques, mais aussi celui des mélodies vocales puissantes, des envolées qui fraient aussi bien avec le rock ou la pop que le punk. A la fin, tout cela donne un coup d’envoi musical électrique et maîtrisé, une chanson française aventureuse, frappée d’une irrévérence british. Here comes billie.
Crédit photo : Max Heilbronn
Ireke ? La canne à sucre en yoruba. Comme elle, le duo aime les climats tropicaux et les rythmes enivrants, prompts à libérer les corps réunis sur un dance- floor. Urgence afrobeat, souplesse funk, alchimie dub, liesse highlife : avec Tropikadelic, Ireke convoque l’héritage des maîtres et l’audace des machines pour donner vie à de nouveaux territoires soniques. À la croisée des chemins. Pour l’amour du groove.
« Ireke revient avec un hymne à la vie léger et solaire », Radio Nova
Jeune autodidacte originaire de Rouen, Jean s’applique à extraire de son esprit les fragments d’un univers musical bien à lui. Animé par le milieu de la musique depuis son enfance, il s’est essayé dans un premier temps à la guitare avant de s’initier à l’écriture. Dans ses morceaux, le chanteur, rappeur et guitariste synthétise un mal-être personnel et social en mariant textes et mélodies aux tonalités joyeusement dépressives.
Un duo sous la forme d’une petite entreprise, un business plan et un lifestyle teintés de rouge et de blanc qui réuniraient leur passion commune pour la disco des Bee Gees, la TB-303 ou la nonchalance de Benny Sings. Empreinte d’une certaine nostalgie 70’s, on retrouve également dans leur musique des orchestrations lumineuses et des textures plus électroniques.
