Du larsen aux murmures, le duo joue libre et spontané d’un kit de batterie sans précédent et d’un son de guitare triphasé.

Une voix de poupée au poing levé, un autre reflet d’une génération blasée, chantent en anglais
et en français les mots simples de textes pas si légers.
Influencés par les années 90, leur musique est un brin je m’en foutiste à la The Kills, plus glamour que les Royal Blood, punk comme The Hives et ensoleillé comme un Pixies. C’est encore le live qui les définira le mieux …